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LesEchos ∣ Viagimmo poursuit son essor

les echos, viager, viagimmo, sophie richard, Retraite, lesechos LesEchos, le 28 octobre 2021 – Offrant un complément de retraite, le viager est perçu depuis la crise sanitaire comme une solution de maintien à domicile. Le réseau immobilier des Sables d’Olonne, spécialiste du viager, compte 30 franchises à ce jour et vise les 45 à l’horizon 2022.

 

Offrant un complément de retraite, le viager est perçu depuis la crise sanitaire comme une solution de maintien à domicile. Le réseau immobilier des Sables d’Olonne, spécialiste du viager, compte 30 franchises à ce jour et vise les 45 à l’horizon 2022.

Né en 2017 aux Sables d’Olonne, le réseau immobilier dédié au viager Viagimmo connaît un regain d’intérêt suite à la crise sanitaire. A ce jour, il compte déjà 30 agences au niveau national, un objectif que Viagimmo s’était fixé pour la fin de l’année, et vise les 45 franchises à l’horizon 2022. Qui plus est, la société a reçu de nombreuses sollicitations au salon de la franchise : plus de 60 dossiers de candidatures portant les demandes à 242 depuis janvier 2021, un chiffre supérieur à celui enregistré en 2019 et en 2020.

Sophie Richard, Viagimmo, viager, AC franchise, le viager Cet engouement des candidats à la franchise s’explique en partie par une volonté de nombreux salariés de donner du sens à leur carrière et de s’impliquer socialement. La fondatrice de Viagimmo, Sophie Richard, ne souhaite cependant pas se lancer dans une course aux ouvertures et préfère sélectionner elle-même ses futurs licenciés qu’elle forme dans son agence-pilote des Sables-d’Olonne.

 

Complément de revenus

Vendeurs et acquéreurs se tournent aussi plus volontiers vers ce type de contrat. « La crise sanitaire a jeté une lumière crue sur la question du vieillissement », constate Sophie Richard. « Nul ne se résout de gaieté de cœur à placer un parent en Ehpad, de surcroît, lorsque l’on connaît le coût élevé de ces établissements, la disparité des prestations et le risque accru de contamination », ajoute-t-elle. Dans ce contexte, le viager occupé est bien souvent « une alternative à cette forme d’hébergement » et apporte « un complément de revenus pour financer la dépendance à domicile », souligne-t-elle. Sans compter les seniors qui vendent en viager pour aider financièrement de leur vivant leurs enfants.

Côté acheteurs, le concept séduit aussi des personnes en recherche de biens, qui, en temps de crise, préfèrent l’immobilier aux placements financiers.

 

Source : LesEchos